Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 mars 2018 6 17 /03 /mars /2018 12:36

 

 32 - Mercredi 14 mars 2018.

St-Georges d’Orques et Lavérune par «Le sentier du dragon».
- 13,5 km
- presque plat.
 
           Après les turpitudes de la météo, prendre un bol d’air sous un grand soleil redonne le sourire ! Se dégourdir les mollets, faire provision de vitamine D, retrouver son tonus, on en rêve tous ! Nous sommes vingt-trois aujourd’hui à vouloir nous émerveiller !
La promenade du jour, mi-campagnarde, mi-citadine, se déroule au travers des vignobles de Saint-Georges que chouchoutent leurs propriétaires : terres labourées, taille nette, sans reproche, ceps même âgés regardant haut le ciel.
Des céréales et plantes fourragères alternent avec le raisin et les olives, définissant un paysage riche en formes et couleurs. 
Le groupe n’est guère pressé, il se prélasse au gré des paysages de plaine, prend en photo les châteaux, les belles architectures bourgeoises, les fontaines, les ébullitions de la Mosson... et même des oies au milieu du chemin !
 
De grandes étendues de pâturage sont réservées aux chevaux, pensionnaires de manèges équestres d’envergure. Le plus impressionnant, le Domaine de Biar, aux portes de Montpellier, est à la fois « gîte de charme, hôtel de réceptions raffinées et manade... C’est un lieu de plaisirs et de fermage où l’on nourrit la chair et les sens dans un même élan spirituel » voilà ce que claironne son propriétaire à qui veut l’entendre. Tout un vaste et troublant programme !
 
Les sentiers ressemblent à des pistes sablonneuses ; certaines argiles claires emprisonnent l’eau ; ailleurs un tapis d’herbe verte bordé d’asperges sauvages côtoie les vignes mais l’on ne pourra pas se dispenser de fouler l’asphalte de nombreuses fois...
 
Toutefois la randonnée mérite le détour ! D’abord parce qu’elle nous fait re-visiter des villages que l’on traverse parfois à la dérobée, comme le souligne Jean-Claude, sans se rendre compte des belles maisons d’antan, des beaux jardins dont un, celui de la nouvelle Mairie, abrite un dragon que tente d’anéantir un chevalier en armure !
L’oeuvre d’art en acier inoxydable reprend ici la légende de l’officier romain St-Georges qui, d’un coup d’épée, vint à bout du dragon qui menaçait la fille du roi !
Les éléments du conte ornent le fronton de l’église, la façade de la cave coopérative et dans un rond-point une sculpture de béton plaqué(e) de miroirs de verre reprend l’héroïque combat du soldat, son arme transperçant le corps enroulé du gigantesque dragon... 
L’ajout du mot « D’Orques » viendrait du latin « Orcas » ( vases) en référence aux poteries antiques arrachées au sous-sol...
 
A Lavérune ou à St-Georges, de vieilles maisons médiévales portent les stigmates de la Révolution qui les obligea dès 1798 à murer les ouvertures pour abaisser la note fiscale... Subsistent encore de belles arcades moulurées, des impostes sculptées et même des gargouilles, ailleurs qu’à l’église !
 
               La halte méridienne aura pour décor le parc du « Château des Évêques » au cœur de Lavérune. Bâtisse du XVIIIème, rectangulaire et classique par sa symétrie, campée de courtes tours d’angle qui se veulent modestes, ne dépassant que d’un cheveu la longiligne toiture. Elle comprend un rez-de-chaussée, un premier étage noble qu’éclairent de multiples fenêtres alignées et parallèles tandis que les communs occupent le deuxième niveau. Deux superbes portes centrales en déterminent l’entrée.
Le parc compte des dizaines et des dizaines de platanes, disposés soit en lignes, soit dans un certain désordre, afin d’étoffer l’ensemble et donner l’impression d’un vrai bois... Quelques marronniers longent l’allée centrale et l’on note la présence de cyprès et de magnolias...
 
Dans l’air, flottent les effluves généreux de la torréfaction du café Carte Noire du groupe  italien Lavazza ; ils nous enveloppent, nous habitent, nourrissent notre odorat et nos papilles... 
On peut ne pas aimer le café et se sentir cependant happé, transporté, ému de plaisir par le parfum volatil, épicé, grillé, exotique des grains du caféier !!!
 
Face au parc du château s’est établie l’aire du jeu de tambourin ;  assister à un match, c’est s’exposer au bruit sourd à forte résonance d’une balle minuscule lancée avec force, s’échappant parfois par-dessus le grillage et retombant lourdement sur les voitures, la route, les piétons !
 
Plus loin, nous longeons un centre psychothérapeutique privé dont le directeur loge dans un château limitrophe de sa clinique, loin de toute habitation, comme à l’écart de la vie, de la normalité. Sur le sentier se promène une jeune femme en chemise de nuit et robe de chambre au bras d’un accompagnateur et nous mesurons la chance que nous avons d’être en mesure de marcher sans aide, en bonne santé physique et mentale... 
 
Pour deux euros par personne, l’abbaye cistercienne de Vignogoul, imposante par sa taille et ses nombreux bâtiments, nous ouvrait ses portes mais la majorité des randonneurs opta pour la poursuite du circuit et certains laissèrent à regret les jardins expérimentaux, les lieux de culte, se jurant d’y revenir seul une autre fois...
 
N’oublions pas que nos pas nous ont menés aussi à l’entrée de belles et grandes propriétés viticoles dont les caveaux ouverts attendent le chaland ! 
« Château de Fourques », de « l’Engarran » (XVIIIème) en pleine campagne tenu par deux femmes, caveau de « Ghizard » dans le centre de Lavérune... Certains de nos hommes se tâtent : et si l’on s’arrêtait, si l’on goûtait ces rouges cuivrés qui tournoient et miroitent quand on penche le verre ?  Le terroir est classé AOC et les crus sont de grande qualité !
Titillés par nos interrogations en forme de boutade : « Qui de ces messieurs nous offrira une bonne bouteille à midi ? »,
Jean-Claude et Jean-François, piqués au vif, pénétrèrent dans la cour du Château de l’ Engarran : vin rouge « La lionne 2015 » et vin rosé 2016 ainsi qu’un vieux rhum martiniquais tournèrent la tête au repas à tout notre joli monde !
 
Merci Joëlle d’avoir initié une si gourmande randonnée !
denise 🍷
Partager cet article
Repost0
12 mars 2018 1 12 /03 /mars /2018 19:07

 

RAPPEL : mercredi 14 mars 2018.

 
La météo révélant un plein soleil, nous aurons enfin l’heur de pouvoir effectuer la randonnée prévue.
Intitulé : « Le sentier du dragon » à Saint-Georges  d’Orques.
Départ : 9h30 parking Maternelle Montarnaud.
Ou bien sur place à St-Georges, sur le parking de la cave coopérative, vers 9h45.
- 13,5 km
- peu ou pas de dénivelée ( 117 m )
Agréable promenade au cœur des vignobles mais le dragon reste toutefois une menace non négligeable..

Joëlle, Françoise et Denise.

Partager cet article
Repost0
5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 18:54

Bonjours à tous,

 

En raison d’une part de l’indisponibilité de l’animateur , et d’autre part de l’itinéraire emprunté qui risque d’être rendu impraticable à deux endroits du fait de la traversée de ruisseaux, la rando prévue mercredi  après-midi  à GOURGAS est annulée.

Si quelqu’un est d’attaque pour en organiser une de remplacement au pied levé me le communiquer avant demain midi.

Personnellement, je suis indisponible mercredi.

Surveillez votre boîte mail.

 

Alain

Partager cet article
Repost0
2 mars 2018 5 02 /03 /mars /2018 19:48

ATTENTION : L’heure de départ des randos des mercredis après-midi pour le mois de mars est 13 heures 30 et non pas 13h .

Alain

 

 

Partager cet article
Repost0
2 mars 2018 5 02 /03 /mars /2018 19:09

Bonjour 

Suite aux conditions météo , quelques doutes sur l’état de la petite route des Lavagnes et celle des chemins

nous préférons reporter la rando au dimanche 11 mars 

Eliane 

Partager cet article
Repost0
26 février 2018 1 26 /02 /février /2018 18:47

Bonjour à toutes et tous,

 

Comme chaque année nous vous proposons une sortie  permettant de découvrir des curiosités de notre région et cette année ce sera une croisière  sur le CANAL DU MIDI le mercredi 16 mai prochain.

 

Nous espérons que vous serez nombreux à souhaiter vous retrouver pour une journée de découverte dans une ambiance amicale proche de la nature.

 

 

Bien amicalement, pour le bureau,

 

Françoise COUPRIE

Pour RANDO MONTARNAUD

06 30 35 09 64

 

Partager cet article
Repost0
24 février 2018 6 24 /02 /février /2018 18:25

2 : « Autour d’Assas»

- 10 km environ
- plat
- 22 participants. Photographe absent...
 
Ce sera court, tout comme fut courte la randonnée du jour.
Notre ruban coloré de marcheurs s’étire à travers les forêts de pins maritimes et les landes couvertes de vert-émeraude. 
« Une photo d’ici pourrait faire douter un béotien qui ne se croirait pas du tout en Languedoc » me dit une randonneuse nouvellement inscrite au club...
- Départ d’Assas, du superbe château XVIII, où le musicologue virtuose Scott Ross ( né en 1951 ! Ah ! La belle année! ) fut accueilli par la famille Demangel et enregistra au clavecin toute l’œuvre de Rameau, Couperin et Scarlatti !!! Il mourut à Assas d’une mort prématurée en 1989...
 
Afin de nous éviter de piétiner le goudron, Alain bifurque à travers les vignes et les champs, sans ménagement pour nos semelles qui s’enfoncent dans une glaise molle et bourbeuse, cherche à droite, à gauche, reprend sa carte et enfin nous embarque tous les 22 dans un bartas de ronces, buissons épineux, pins d’Alep et arbres morts. 
Puis c’est la barrière, haute, qui ne s’ouvre pas et que l’on va devoir traverser ! Je soulève un peu le bas du grillage et la chienne de Jean-Louis rampe et passe dessous traînant dans la terre son ventre bien nourri. Mais son maître semble moins à l’aise ! A cheval sur l’épaisse palette qui fait office d’obstacle, son pantalon est resté accroché à un fil de fer qui menace de déchirer l’entrejambe ! « Aidez-moi à me libérer, crie-t-il, je ne peux pas me lâcher des mains ! »
Mais la tâche n’est pas aisée pour moi...! J’appelle Alain qui seul peut oser regarder de près et glisser ses doigts sur cette partie aussi secrète qu’intime... Ensuite il faut sauter ! Personne ne remarquera l’accroc bien caché. 
Marie-José s’appuie sur mon épaule, Alain l’agrippe et j’offre mon dos pour lui amortir la descente. Après le saut aisé de Philippe, ce dernier prendra gentiment ma place et toutes ces dames connaitront alors  le plaisir de se sentir saisies par les bras vigoureux d’Alain et de Philippe et toutes se laisseront choir avec délectation ! Certaines même émettront de doux roucoulements de satisfaction ! D’autres rougissantes se diront gênées voire effarouchées ...
« Vous voyez que tout s’est bien passé ! Plutôt que d’emprunter la route... » claironne notre guide.
Nous ferons aussi de jolies rencontres : chevaux dans de vastes pâturages, couvre-reins marron sur l’échine, bélier nain aux gros yeux globuleux un peu stupides, flirtant sans vergogne avec des poules toutes émoustillées et brebis laineuse courte sur pattes...
 
Plus loin c’est le circuit miniature d’un vrai chemin de fer qui requiert toute notre attention : les rails sont impeccablement alignés, les traverses de 10 cm à peine rigoureusement implantées, le tout semble en état de marche et je songe à ce que penserait Jean-Pierre A, amoureux des gares et des trains qu’il fabrique lui-même ; sans conteste quelqu’un s’amuse ici à faire rouler sur cette voie improvisée une locomotive traînant ses wagons ! Quel jouet gigantesque ! Quel talent de bricoleur !
 
Le retour vers le centre d’Assas s’effectue par la rue « Cope cambe », petite arête assez verticale, dallée de lauzes fines, pouvant prétendre couper la jambe et le souffle ; une jeune femme nous dépasse en courant cassant net le moral de certains... Alain raconte à qui veut le croire qu’à Montpellier la rue qui porte un nom identique longe l’ancienne fac de médecine et servait jadis de dépotoir aux jambes coupées lors des dissections !!! 
Eh bien voilà  notre guide en train de pateliner à présent !!!
Merci à lui, à son entrain et à sa bonne humeur !
denise 🤣
Partager cet article
Repost0
19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 19:26
Partager cet article
Repost0
19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 19:23

 

31 - dimanche 18 février 2018 :

 «  Autour des Matelles »
- 17,9 km
-pas ou peu de dénivelée.
 
 
En ce dimanche, Jean-Pierre nous invite à prendre la clé des champs entre Les Matelles et Saint-Jean-de-Cuculles. Nous sommes 20 et l’on a plaisir à revoir certaines personnes qui s’étaient éclipsées ces derniers temps !
L’escapade emprunte des chemins de traverse entre un beau vignoble classé AOC et la forêt primitive méditerranéenne, quand celle-ci n’a pas encore eu le temps de brûler ! ( Mais existe-t-elle toujours ?)
Nous avons l’habitude de ce genre de végétation qui oscille entre les nombreux pins maritimes ou d’Alep plutôt rachitiques et les lauriers, les genévriers, chênes, buis et autres gracieusetés de notre garrigue herbue.
Mais Jean-Pierre est catégorique : denise tu auras des choses à dire, crois-moi !
Quelques belles sentes élargies, un chemin que l’on se fraye dans les bartas, des pistes transformées en mare, un peu d’asphalte parfois mais aussi un agréable passage cabré vers le sommet d’une collinette arborée... et des ruines de tours de guet, dont on aperçoit encore les archères, qui communiquaient entre elles et le château de Monferrand.
 
     Il y a incontestablement une ambiance d’aise et de confort dans ce village fortifié des Matelles. Il allie authenticité de ses demeures d’autrefois et modernité de la vie citadine. 
         Agglomérées de façon concentrique autour du « castrum », ancienne tour ceinte d’un premier mur circulaire défensif, les maisons anciennes se sont dotées d’un deuxième rempart élargi, multipliant les porches, les arcades reliant les façades au-dessus de nos têtes, les ruelles étroites et pavées, les escaliers extérieurs en pierre et les petites places intimistes. L’une d’elles porte le nom usurpé de « place du château » alors qu’elle n’abrita que la tour occupée au Moyen-Age par des soldats à la solde du seigneur de Montferrand et qui se chargeaient de faire respecter l’octroi. 
Plus loin une fausse herse en bois rutilant montre ses dents agressives à l’entrée d’une ruelle... certains dessous de toits arborent triple ou quadruple rangées de génoises !
La boucherie du Lirou sur les berges de la rivière est un endroit à fréquenter :
«meilleure saucisse du département» affirme le guide Jean-Pierre, « tout est fait artisanalement ». On y reviendra un jour de semaine ! 
Le Lirou peut s’avérer voluptueux lors de pluies soutenues ; il traverse les Matelles imprimant au village le charme indéniable que confère l’eau d’une rivière, l’été, en pays languedocien. Deux mille habitants résident dans ces terres de garrigue, pinède et chênes verts au pied du majestueux Pic-Saint-Loup.
 
Peu après, à trois kilomètres à vol d’oiseau, la promenade nous amène au cœur de Saint-Jean-de-Cuculles dont le nom qui prête à la raillerie viendrait du mot latin « cuculla » désignant le capuchon des moines.
L’église romane, hissée au sommet de la colline, semble faire autorité sur le village construit autour d’elle et fortifié de remparts lors de la guerre de Cent ans. Elle fut édifiée en l’an 962 à la gloire de Saint-Jean-Baptiste et placée sous l’autorité du châtelain de Montferrand. Son clocher faisait office de donjon où se réfugiaient les paysans en cas d’attaque ( ennemis ou routiers...) Ses contreforts portent des arcs à mâchicoulis et elle a été surélevée d’un étage.
A côté de l’église nous apercevrons, le nez collé à la grille, les restes du beau prieuré médiéval : le cloître, dont l’étage a été vendu à des quidams (on aperçoit un étendage de linge d’enfant à travers une vitre), a conservé sa monacale galerie couverte, à colonnes courtes ornées de chapiteaux, encadrant une vaste cour.
 
Un pont roman enjambe le ruisseau de la Yorgues ; deux arches ou piles sont encore debout, larges de 2,50 mètres, mais dont le tablier éboulé et en accordéon est ........
« interdit d’accès », Monsieur Autier ! 
Nous le traverserons néanmoins sans la moindre sensation de fouler aux pieds un édifice en péril ! Il est vrai que l’interdiction n’est pas clairement spécifiée... sinon sur le site internet !!! 
Au loin se dessine la demeure des vieux retraités que nous serons bientôt : « Notre-Dame-des-Champs » ancien monastère devenu résidence pour personnes âgées n’attend plus que nous... « Peut-être pas » murmure, optimiste, Denyse M.
 
Le retour fut assombri par la chute de Françoise C. qui buta sur une pierre et s’ouvrit l’arcade sourcilière ; chacun s’employa à la secourir du mieux possible en présentant pansements, sparadrap, pastilles d’arnica, mouchoirs pour éponger le sang. Jean-François courut chercher sa voiture et notre infirmière Eliane posa le diagnostic de points de suture indispensables... C'est en direction des Urgences de Sète qu’ils partirent en trombe. Avec la pointe de nos bâtons nous voulûmes effacer et brouiller la tache qui avait rougi la terre et les cailloux...
Françoise en sera quitte pour une petite balafre ourlée sous le sourcil et un œil au beurre noir peut-être ! 
 
Nous n’avons pas aperçu la vierge de la Cabasse, et sans doute ne l’avons-nous pas assez implorée... ! Elle se tient droite, haute de trois mètres, au-dessus du village, perchée sur une petite montagne, et esseulée, retirée, en retraite forcée, tout cela parce que les Cucullois(es), se disputant son emplacement au sein du village, le curé trancha et la relégua sur un site perché lui assignant la mission de bien protéger ses ouailles !
 
C’est bien ici, à Saint-Jean-de- Cuculles, que j’ai revu la devanture du commerce où, chère Christine, un caprice d’un jour nous fit regretter de ne pouvoir emporter avec nous un fantasmatique cheval de carrousel... au travers de la vitre empoussiérée, j’ai pu constater qu’il avait disparu.
 
denise 🏹🤺🐎
Partager cet article
Repost0
16 février 2018 5 16 /02 /février /2018 19:56

Pour info, mercredi prochain nous n’irons pas à ST HILAIRE DE BEAUVOIR.

La rando s’effectuera sur ASSAS : +- 10 Km  -  100 m  -  3 H 00. Je vous donnerai plus d’info ultérieurement

Alain

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Rando Montarnaud
  • : Blog de Rando Montarnaud
  • Contact

Recherche

Liens